Dans les grands comptes qui intéressent Teradata les DG poursuivent principalement trois objectifs. Premièrement globaliser les activités, c'est-à-dire concrètement définir une stratégie globale, assurer l’unité de sa mise en œuvre par toute l’entreprise qui doit manœuvrer comme un seul homme et piloter l’ensemble au plus près sans délai. Deuxièmement optimiser les processus, c’est-à-dire se focaliser sur les éléments clés du métier de l’entreprise (création de l’offre, production, commercialisation et gestion des ressources), avec concrètement la fin des approches par fonction au profit d’une intégration des visions (commerciales, financières, …) pour optimiser la valeur ajoutée prévue dans le cadre de la stratégie. Troisièmement rationaliser les moyens, c'est-à-dire les dimensionner, les localiser en fonction des objectifs stratégiques, avec concrètement un développement du travail en réseaux mondiaux et la fin des baronnies, des potentats locaux et des degrés de liberté des filiales.
Plus précisément si l’on prend le domaine financier d’une entreprise il s’agit de maîtriser et d’harmoniser les pratiques à travers toutes les filiales (par exemple la société NCR maison mère de Teradata est présente dans 130 pays), d’accélérer la publication des résultats (souvent actuellement il faut de 5 à 8 jours ; la nouvelle cible est de 2 jours), réduire les coûts de la fonction financière (actuellement souvent > 1% du chiffre d’affaires ; la nouvelle cible est d’environ 0,5%), réduire les encours clients, réduire les stocks, etc. Dans les entreprises qui globalisent leurs activités, tous les domaines Marketing/Ventes, Production, Gestion des Ressources, R&D font l’objet des mêmes approches de redéfinition des objectifs, des organisations et des moyens.
En terme de système décisionnel pour répondre aux besoins actuels des grandes entreprises décrits ci-dessus, il convient d’être à même : 1°) d’équiper de plus en plus d’utilisateurs différents (Directions, Experts en analyse de données, Analystes d’une fonction, Responsables opérationnels, Opérationnels, …). 2°) d’intégrer les données dans un data warehouse d’entreprise (EDW) : intégrer les ODS, consolider les Data Marts, assurer via l’EDW la qualité des données. 3°) de traiter de plus en plus de données : taille des disques, puissance des systèmes, ETL & ELT, EDW et mise en place de Data Marts logiques. 4°) d’intégrer du support décisionnel dans la gestion des opérations (rendre le data warehouse actif – ADW) : multiplication des scorings, développement des services internet (SOA). 5°) d’intégrer dans une architecture d’entreprise les différents outils de la BI (les classiques SAS, BO, Hypérion et les nouveaux grands acteurs de la BI : SAP, Microsoft, …). 6°) de développer de nouvelles applications de gestion du client (Calcul de la valeur client, compte d’exploitation Client en BtoC, …) de gestion des produits (par exemple problématique des garanties : maîtrise aval et amont de la vie des produits), etc.
Concrètement pour les grands comptes avec qui Teradata travaille cela veut dire que leur système décisionnel doit : être disponible 24h sur 24, 7 jours sur 7, 52 semaines par an ; alimenter en données de qualité des milliers d’utilisateurs (actuellement ~12 % des effectifs d’un grand compte sont dotés de moyens d’aide à la décision) ; stocker souvent des dizaines de téras de données, mises à jour pour certaines d’entre elles en quasi temps réel par rapport à l’opérationnel, intégrées dans un gisement fondé sur un modèle normalisé couplé avec de multiples modèles en étoiles ; répondre aux besoins de l’ensemble des domaines fonctionnels de l’entreprise, en autorisant simultanément les activités de reporting, des requêtes ad hoc, de l’olap, de l’analyse de données qui manipulent des téras de données utiles et autorisent des vues logiques complexes (>15 jointures).
La valeur d’un système décisionnel pour une entreprise est déterminée par sa capacité à aider à être plus agile et pour cela dans de nombreux domaines de l’aide à la décision la vitesse est primordiale : vitesse d’acquisition, d’analyse et d’action. A ce jeu il s’agit de réduire le plus possible les latences entre l’occurrence d’un événement métier, la capture des données correspondantes, la mise en cohérence et en perspective, la production d’une information et l’action. L’expérience montre que seule une architecture de système décisionnel fondé sur un gisement de données détaillées d’entreprise centralisé peut permettre de répondre à ce défi.
Au jeu de la globalisation, une entreprise équipée d’une bonne solution décisionnelle a un avantage certain et pour cela son système doit être architecturé de façon à garantir les performances à court terme, l’évolutivité, la pérennité des investissements, une maîtrise des coûts et des risques. Dans ce domaine en termes de choix technologiques, le Gartner classe Teradata en n° 1 depuis plus de cinq ans.
Pour aller plus loin sur ce thème des besoins et tendances en matière de décisionnel vous pouvez utilement consulter le lien ci-dessous :
http://www.teradata.com/t/page/82854/index.html
Plus précisément si l’on prend le domaine financier d’une entreprise il s’agit de maîtriser et d’harmoniser les pratiques à travers toutes les filiales (par exemple la société NCR maison mère de Teradata est présente dans 130 pays), d’accélérer la publication des résultats (souvent actuellement il faut de 5 à 8 jours ; la nouvelle cible est de 2 jours), réduire les coûts de la fonction financière (actuellement souvent > 1% du chiffre d’affaires ; la nouvelle cible est d’environ 0,5%), réduire les encours clients, réduire les stocks, etc. Dans les entreprises qui globalisent leurs activités, tous les domaines Marketing/Ventes, Production, Gestion des Ressources, R&D font l’objet des mêmes approches de redéfinition des objectifs, des organisations et des moyens.
En terme de système décisionnel pour répondre aux besoins actuels des grandes entreprises décrits ci-dessus, il convient d’être à même : 1°) d’équiper de plus en plus d’utilisateurs différents (Directions, Experts en analyse de données, Analystes d’une fonction, Responsables opérationnels, Opérationnels, …). 2°) d’intégrer les données dans un data warehouse d’entreprise (EDW) : intégrer les ODS, consolider les Data Marts, assurer via l’EDW la qualité des données. 3°) de traiter de plus en plus de données : taille des disques, puissance des systèmes, ETL & ELT, EDW et mise en place de Data Marts logiques. 4°) d’intégrer du support décisionnel dans la gestion des opérations (rendre le data warehouse actif – ADW) : multiplication des scorings, développement des services internet (SOA). 5°) d’intégrer dans une architecture d’entreprise les différents outils de la BI (les classiques SAS, BO, Hypérion et les nouveaux grands acteurs de la BI : SAP, Microsoft, …). 6°) de développer de nouvelles applications de gestion du client (Calcul de la valeur client, compte d’exploitation Client en BtoC, …) de gestion des produits (par exemple problématique des garanties : maîtrise aval et amont de la vie des produits), etc.
Concrètement pour les grands comptes avec qui Teradata travaille cela veut dire que leur système décisionnel doit : être disponible 24h sur 24, 7 jours sur 7, 52 semaines par an ; alimenter en données de qualité des milliers d’utilisateurs (actuellement ~12 % des effectifs d’un grand compte sont dotés de moyens d’aide à la décision) ; stocker souvent des dizaines de téras de données, mises à jour pour certaines d’entre elles en quasi temps réel par rapport à l’opérationnel, intégrées dans un gisement fondé sur un modèle normalisé couplé avec de multiples modèles en étoiles ; répondre aux besoins de l’ensemble des domaines fonctionnels de l’entreprise, en autorisant simultanément les activités de reporting, des requêtes ad hoc, de l’olap, de l’analyse de données qui manipulent des téras de données utiles et autorisent des vues logiques complexes (>15 jointures).
La valeur d’un système décisionnel pour une entreprise est déterminée par sa capacité à aider à être plus agile et pour cela dans de nombreux domaines de l’aide à la décision la vitesse est primordiale : vitesse d’acquisition, d’analyse et d’action. A ce jeu il s’agit de réduire le plus possible les latences entre l’occurrence d’un événement métier, la capture des données correspondantes, la mise en cohérence et en perspective, la production d’une information et l’action. L’expérience montre que seule une architecture de système décisionnel fondé sur un gisement de données détaillées d’entreprise centralisé peut permettre de répondre à ce défi.
Au jeu de la globalisation, une entreprise équipée d’une bonne solution décisionnelle a un avantage certain et pour cela son système doit être architecturé de façon à garantir les performances à court terme, l’évolutivité, la pérennité des investissements, une maîtrise des coûts et des risques. Dans ce domaine en termes de choix technologiques, le Gartner classe Teradata en n° 1 depuis plus de cinq ans.
Pour aller plus loin sur ce thème des besoins et tendances en matière de décisionnel vous pouvez utilement consulter le lien ci-dessous :
http://www.teradata.com/t/page/82854/index.html
Autres articles
-
Teradata lance des cas d’usage d’IA générative à démarrage rapide grâce à l’intégration d’Amazon Bedrock
-
Teradata nomme Louis Landry au poste de Chief Technology Officer
-
Teradata AI Unlimited pour Microsoft Fabric est désormais disponible en avant-première via Microsoft Fabric Workload Hub
-
Teradata facilite l’application concrète de l’IA générative et accélère la création de valeur pour les entreprises
-
Teradata propose des capacités d’IA exceptionnelles pour les grandes entreprises et les environnements hybrides en collaboration avec NVIDIA